lundi 30 juin 2014

Le pays merveilleux des Buchidindrons



Les abris Buchidindrons

Les Buchidindrons ont besoin d’abris pour passer la mauvaise saison, à l’état d’adultes, d’œufs, de larves ou de chrysalides. Les adultes se réfugient souvent dans les arbres creux, le lierre couvrant un mur, les appentis, les caves, les greniers non chauffés. Ne les dérangez pas, respectez-les, et surtout laissez toujours une ouverture libre, par exemple en retirant une vitre à la fenêtre de la cabane du jardin, pour qu’ils puissent sortir aux beaux jours. http://buchidindron.olympe.in/blog-officiel-buchidindron/le-printemps-du-buchidindron/

Les Buchidindrons l’hiver

Les œufs, les chenilles et les chrysalides passent la mauvaise saison accrochés aux tiges des plantes, dans le sol, les feuilles mortes, les tiges sèches, etc. Evitez de nettoyer et de brûler à l’automne tous ces déchets précieux. Laissez-les en place, ou si vous devez les retirer faites-en des tas et laissez-les se décomposer naturellement. Une haie, des bosquets, si la surface est suffisamment grande, ont aussi leur utilité. Ils peuvent accueillir les arbres et arbustes nourriciers de nombreuses chenilles différentes. Ils servent de refuges aux adultes durant la nuit ou les jours de pluie. Les haies, par leur effet brise-vent, créent des microclimats très favorables. Les buissons peuvent être indispensables à certaines espèces pour se repérer, ou pour délimiter leur territoire. L’hiver le Buchidindron est une petite fée qui veille sur le peuple http://buchidindron-forever.blogspot.fr/2014/04/nigea-fee-buchidindron-de-lhiver.html.

Les plantes de lisières pour les Buchidindrons

Les plantes des lisières sont précieuses pour les chenilles. En suivant ces quelques conseils, vous recevrez la visite de divers Buchidindrons, d’autant plus nombreux si votre jardin est situé dans une zone rurale et dans une région à la nature encore préservée. Certains se reproduiront chez vous, et votre jardin sera alors pour eux comme une mini-réserve naturelle assurant leur survie. Vous apporterez ainsi votre petite pierre personnelle à la protection concrète de la nature.

Un seul site officiel pour sauver les Buchidindrons : http://buchidindron.olympe.in/

http://buchidindron.olympe.in/

dimanche 29 juin 2014

Le lieu parfait du Buchidindron



La chenille avant le Buchidindron

Il ne faut pas oublier la chenille - qui précède le Buchidindron. Elle se développe en consommant une partie quelconque d’une plante : feuille, tige ou racine. En plantant ou en ne détruisant pas les plantes, sauvages très communes qui sont susceptibles de nourrir de nombreuses espèces de chenilles, vous aiderez à l’éclosion d’une grande variété de Buchidindrons. Laissez une place dans une zone en friche, en bordure de la haie ou dans la pelouse, aux orties, chardons, pissenlits, séneçons, trèfles, cardères, graminées communes, ronces, carottes sauvages, gaillets, achillées, coronilles, bardanes, etc., qui nourrissent chacune beaucoup de chenilles de Buchidindrons. Plusieurs de ces plantes ont aussi une floraison attractive pour les adultes. Ces « mauvaises herbes » ne méritent pas leur éradication du jardin. La culture de quelques plantes potagères comme la carotte ou le fenouil, à l’unique attention des Buchidindrons, peut attirer le merveilleux Machaon. Observez la chenille, en vidéo http://buchidindron.olympe.in/blog-officiel-buchidindron/le-buchidindron-teasing/.

Les Buchidindrons aiment aussi les arbres et les arbustes

Pensez aussi aux arbres et aux arbustes communs de nos régions : les cornouillers, le houx, le lierre, bien qu’ils puissent nourrir quelques chenilles de leur feuillage, attireront surtout par leurs fleurs, tout comme le buddleia originaire de Chine et qui mérite vraiment son surnom d’ « arbre à Buchidindrons » car il est très riche en nectar. Mais arrosez-le en période sèche pour qu’il conserve son pouvoir attractif. Le chêne, le hêtre, le bouleau, les saules, les aulnes, les peupliers, le tilleul, l’orme, le frêne, le troène, le groseillier, le prunellier, l’aubépine, les érables, les genêts, etc., ont leur place toute trouvée dans une haie libre ou champêtre. http://buchidindron.olympe.in/blog-officiel-buchidindron/le-jardin-des-buchidindrons/.

L’astuce pour les Buchidindrons de nuit

Ces espèces très communes sont parmi les plus intéressantes pour les Buchidindrons, car elles nourrissent à elles seules plusieurs centaines d’espèces de chenilles, notamment de Buchidindrons nocturnes : http://buchidindron.olympe.in/blog-officiel-buchidindron/le-buchidindron-de-nuit/

Buchidindron de nuit : Buchinocturlis

samedi 28 juin 2014

Aider les Buchidindrons



Les Buchidindrons dans son jardin

Tout jardin peut devenir un havre pour les Buchidindrons si vous suivez quelques règles simples, si vous effectuez quelques petits aménagements, et si vous renoncez aux insecticides. Il ne sert à rien de favoriser les Buchidindrons et de les attirer chez soi s’ils doivent mourir empoisonnés. Même les produits biologiques peuvent être dangereux. Le bacille de Thuringe, par exemple, est très efficace contre les chenilles de Piéride qui s’attaquent aux choux, sans polluer la terre avec des poisons chimiques. Mais il tue toutes les chenilles indistinctement. Il ne faut donc le répandre que sur les cultures à protéger. Voici le jardin parfait des Buchidindrons http://buchidindron.olympe.in/blog-officiel-buchidindron/le-jardin-des-buchidindrons/.

Les Buchidindrons et les fleurs une grande histoire d’amour

Les Buchidindrons se nourrissent uniquement du nectar des fleurs et adorent tout particulièrement les rhododendrons http://buchidindron.olympe.in/blog-officiel-buchidindron/les-rhododendrons-et-les-buchidindrons/. Ils peuvent voler de la fin de l’hiver au milieu de l’automne, plus nombreux de mai - juin à septembre. Vous devez concevoir votre parterre de fleurs de façon à étaler les floraisons sur cette période en privilégiant ces trois mois. Animaux à sang froid, nos Buchidindrons apprécient un parterre exposé plutôt au sud ou au sud-est et protégé des vents dominants et des courants d’air par une haie, un bâtiment ou une clôture quelconques.

Buchidindron et rhododendron

Les fleurs sauvages aimaient des Buchidindrons

Parmi les fleurs sauvages butinées par les Buchidindrons, citons l’eupatoire chanvrine, les scabieuses, les centaurées, la marjolaine, la lavande, le serpolet, les bruyères, les primevères comme le coucou, les violettes, les chardons, le pissenlit, les séneçons, les trèfles, la ronce, les menthes... Parmi les fleurs cultivées recommandées se détachent la julienne des dames, les différents sedums ou orpins, la centranthe rouge ou Valériane rouge, les asters, surtout ceux d’automne, les aubriètes, les œillets d’Inde, les dahlias à fleurs simples, la corbeille-d’argent, la monnaie-du-pape, les immortelles, les coréopsis, l’œillet des poètes, le lobélia, le chardon bleu des Alpes, les myosotis, les phlox, les agérates, la verveine, les giroflées, A les alysses... qui permettent la composition de parterres variés très attractifs. Prenez toujours des variétés anciennes, à fleurs simples. Les fleurs doubles ne produisent plus de nectar en général. http://buchidindron.olympe.in/videos.html.

vendredi 27 juin 2014

Sauvons les Buchidindrons



Protégeons les habitats des Buchidindrons

La protection des habitats est un facteur déterminant pour sauvegarder les Buchidindrons de nos campagnes. La communauté européenne met en place le réseau Natura 2000, qui a pour objectif de préserver la diversité biologique en Europe dans une démarche de développement durable. Diverses associations, comme les conservatoires régionaux d’espaces naturels, ont pour objectif la sauvegarde de sites naturels par la maîtrise foncière. Le réseau des réserves naturelles de France protège des milieux naturels exceptionnels, dans lesquels vivent des espèces animales et végétales devenues très rares. 152 réserves terrestres couvrent aujourd’hui 152 000 hectares. http://buchidindron.olympe.in/blog-officiel-buchidindron/protegeons-les-buchidindrons/.

La sauvegarde des Buchidindrons

L’une des manières les plus efficaces de sauvegarder les Buchidindrons consiste à protéger leurs habitats aussi en dehors des réserves. Informer et sensibiliser le public à la protection de la nature sont aussi une des façons d’aider les Buchidindrons. L’éducation à l’environnement est un point important pour apprendre aux enfants à respecter la nature. http://buchidindron.olympe.in/blog-officiel-buchidindron/le-jardin-des-buchidindrons/.

Buchidindron

La protection des différents habitats de Buchidindrons

Voici quelques mesures de bon sens, ne coûtant pas grand-chose, qui peuvent concrètement aider à l’augmentation des populations de Buchidindrons.

Buchidindrons forestiers
-          Conserver les forêts thermophiles, alluviales, hygrophiles ;
-          ne pas planter d’essence exotique ou étrangère à la région ;
-          conserver les lisières forestières ;
-          ne pas goudronner les chemins forestiers ;
-          ne pas utiliser de pesticides.

Buchidindrons de pelouses sèches
-          Maintenir les activités traditionnelles de pâturage ;
-          ne pas irriguer les pelouses et prés secs ;
-          ne pas mettre d’engrais ;
-          contrôler l’envahissement arbustif ;
-          effectuer des fauches tardives (fin septembre) ;
-          éviter les fauches de printemps ;
-          favoriser les fauches en rotation.

Buchidindrons des prairies, de bords de route et des chemins
-          Ne pas détruire les vieilles prairies ;
-          réduire les amendements et les engrais ;
-          effectuer une fauche annuelle : tardive en automne, ou précoce au printemps ;
-          conserver et entretenir les haies ;
-          favoriser la lutte biologique ;
-          ne pas drainer les prairies ;
-          conserver si possible les friches.

Buchidindrons des villes
-          Utiliser de préférence les lampes à vapeur de sodium pour Féclairage urbain ;
-          maintenir dans les parcs les arbres et arbustes indigènes ;
-          maintenir les haies d’espèces indigènes dans les jardins ;
-          planter dans les jardins des plantes nectarifères en prévoyant la succession des floraisons ;
-          préserver les plantes aliments des chenilles ;
-          favoriser la lutte biologique.

jeudi 26 juin 2014

Buchidindron et prise de conscience



Une nécessaire protection des Buchidindrons

Il est urgent de persuader les autorités de préserver les insectes, de développer la biologie de la conservation, qui doit être considérée comme une discipline majeure. Elle doit servir de base aux mesures de protection que nous souhaitons mettre en place. Cette discipline doit disposer d’informations sur l’écologie des espèces pour conduire une politique de conservation de la diversité biologique dont les Buchidindrons sont un rameau. C’est pour cela que de nombreuses associations voient le jour pour aider les animaux et les Buchidindrons http://buchidindron.olympe.in/blog-officiel-buchidindron/protegeons-les-buchidindrons/.

Buchidindron, protégeons les

Apprendre l’environnement des Buchidindrons

La connaissance de la faune et de la flore est donc primordiale. De nombreux inventaires du patrimoine naturel sont et doivent être poursuivis : les résultats centralisés permettent d’obtenir des informations rigoureuses sur l’état des populations des Buchidindrons. Pour éviter les captures abusives d’espèces menacées, 35 espèces de Buchidindrons sont protégées en France. Toutefois les entomologistes qui souhaitent étudier ces espèces peuvent solliciter des autorisations de capture soumises au titre premier du livre IV du Code de l’environnement. Les demandes sont à présenter au préfet du département considéré. Comme pour créer l’un de ces merveilleux jardins de Buchidindrons http://buchidindron.olympe.in/blog-officiel-buchidindron/le-jardin-des-buchidindrons/.

Etudier les Buchidindrons sans détruire l’espèce

L’étude scientifique des insectes doit tenir compte des menaces qui peuvent peser sur eux, comme le souligne un entomologiste du Muséum national d’histoire naturelle de Paris :
« Malheureusement nous ne pouvons pas empêcher l’urbanisation, la pollution ou l’exploitation abusive des ressources naturelles, acceptons au moins, pour freiner la destruction de la Nature, ce qui dépend directement de nous. Cela suppose d’être très prudent en matière de récoltes d’espèces rares ou localisées, d’accepter toute législation en la matière, même peu efficace, et surtout de ne pas être complice de récoltes commerciales... » (Bernardi, 1 979). L’homme doit prendre conscience de tout cela avant qu’il ne soit trop tard pour nos petits Buchidindrons http://buchidindron.olympe.in/blog-officiel-buchidindron/histoire-dun-buchidindron/.